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PTSI Marseille

En cliquant sur les noms des anciens élèves, vous aurez accès à leur témoignage. Ils vous expliquent (sans censure) pourquoi ils ont choisis la prépa PTSI-PT/PT* du lycée Jean PERRIN. Ils vous racontent leur vécu et leurs réussites aux concours de la Banque PT.

Pour savoir ce que nos anciens élèves deviennent à la sortie de leur école d'ingénieurs, c'est par ici !

Antoine G. @ Arts et Métiers


Bonjour à tous,
La PT* de Jean Perrin est un très bon moyen de réussir, moyennant travail tout de même, dans un cadre où il n’y a pas de concurrence, ce qui est très important pour une prépa, avec des profs qui savent être sérieux et professionnels, mais aussi agréables et souriants.Bref, y a qu’à !



Kévin L. @ Sup'Elec

Bonjour à tous,

Je fais partie de ceux qui ne voulaient pas entendre parler de prépa en terminale. Pensant ne pas avoir les capacités et n’ayant pas envie de me « tuer au travail », j’avais d’abord choisi de faire des études plus courtes. Mais sous les conseils de mes professeurs j’ai décidé de tenter une prépa PTSI, choix que je referais sans hésiter. Le choix du lycée Jean Perrin a été quasi-immédiat compte tenu des chances d’intégrer une grande école (quasiment 100% en trois ans).

La prépa PTSI n’est pas toujours de tout repos, mais vraiment intéressante au niveau du contenu des cours. En effet, les cours sont souvent bien moins abstraits que ceux enseignés dans d’autres filières et donnent une approche plus précise de ce que peuvent être les métiers d’ingénieur.

L’ambiance de classe est bien différente de l’idée que l’on se fait des prépas. On s’entraide pas mal ce qui permet d’avancer ensemble.

La qualité de l’enseignement aussi est bonne, les professeurs sont disponibles et il n’est pas rare qu’un prof reste à la fin du cours pour répondre aux questions et réexpliquer ce que l’on n’a pas compris (pour ceux qui le veulent).

La PTSI et plus particulièrement la PTSI Jean Perrin est la voie royale pour intégrer les Arts et Métiers.
Mais l’idée que les portes des autres grandes écoles sont fermées est fausse.
En effet, les élèves qui se donnent les moyens de réussir ont autant de chances d’intégrer une grande école que ceux des autres filières.

Ensuite, en école d’ingénieur, on s’en sort aussi bien que les autres. Evidemment on a un peu de retard dans les matières abstraites, mais il est comblé par l’avance que l’on a dans les matières plus concrètes et techniques.

Après avoir fait PTSI, puis PT*, j’ai été admis à : Supélec, Centrale Lyon, l’ENS Cachan, Les Arts et métiers, Centrale Lille et toutes les écoles du réseau CCP.

J’ai finalement choisi Supélec car c’est une grande école généraliste mais qui permet d’approfondir les domaines de l’énergie électrique et des systèmes d’information (école leader en France dans ces domaines).Bonne chance à tous ceux qui choisiront la PTSI Jean Perrin cette année.

Clémentine M. @ Centrale Marseille

Bonjour à tous,
Lorsqu’en terminale j’ai eu à faire ma liste de vœux je n’y ai inscrit que cette prépa. En effet j’y trouvais beaucoup d’avantages. Tout d’abord les chances d’intégrer une Grande Ecole, qui sont voisines de 100%.
Le concept d’une banque de concours unique, la banque PT, est également motivant. En effet, les élèves des autres filières doivent présenter plusieurs banques de concours, et passent par conséquent plus d’un mois d’écrits et au moins trois semaines d’oraux en Juillet.
En PT, nous n’avons eu que 8 jours d’écrits répartis sur 2 semaines et j’ai eu 4 jours d’oraux début Juillet.
L’ambiance générale des classes est bonne et il n’y a pas du tout de compétition entre les élèves, au contraire l’entraide est courante.
Les professeurs sont à l’écoute des élèves et joignables par mail.
En ce qui me concerne, j’ai beaucoup travaillé en prépa. J’ai choisi de travailler plutôt le week-end, même si je sortais le samedi soir, et de me coucher relativement tôt en semaine. Même pendant les révisions de concours je ne me couchais pas après 23h.
En deuxième année je n’avais clairement pas envie d’intégrer les Arts et Métiers donc je me suis donnée les moyens d’intégrer une école plus généraliste, à savoir Centrale Marseille.
En côtoyant des élèves issus des autres prépas je me suis rendue compte qu’ils en avaient vraiment plus « bavé » que moi !
En école je m’en sors aussi bien que les autres, mais je pense avoir une vision plus concrète des sciences de l’ingénieur.
La prépa PT peut donc vous amener, par un travail régulier, à de très bonnes écoles, sans pour autant vivre un calvaire pendant 2 ou 3 ans.
Bon courage à tous ceux qui se lancent l’année prochaine !
Admise à : ENSAM, ENS Cachan, Centrale Marseille, Lille, Nantes, Supélec, Mines-Ponts, CCP

Laure T. @ Arts et métiers

Salut à tous !
En toute honnêteté, si j’ai choisi la prépa PTSI de Jean Perrin c’est principalement parce que ça me semblait la meilleure solution pour optimiser mes chances d’intégrer une grande école.
En effet, la filière a de très bons taux de réussite dans les grandes écoles.
L’ambiance y est bonne, les profs sont toujours d’accord pour vous réexpliquer après les cours.
J’ai personnellement l’impression d’avoir quand même pas mal travaillé.
En ce qui concerne les concours j’ai intégré lesl Arts et Métiers.
Et même si ça peut paraître surprenant c’est l’anglais et le français qui m’ont bien aidé à intégrer, donc mieux vaut ne pas négliger ces matières qui finalement comptent pas mal au concours.
En conclusion : bon courage et bonne chance à tous !

Simon G. @ Centrale Paris

Bonjour à tous,
A la fin de ma terminale S option SI, je n’avais aucune hésitation sur le fait d’aller faire une classe prépa, car je savais que je voulais être ingénieur. Par contre, j’ai hésité sur la filière, entre une MPSI à Thiers pour ensuite passer en PSI en deuxième année, et une PTSI à Jean Perrin. J’ai finalement choisi la PTSI à Jean Perrin, d’abord pour la filière puisque le pourcentage d’intégrés dans les Grandes Ecoles après 2 ou 3 ans est proche de 100% en PTSI, mais aussi pour la qualité de la prépa PTSI à Jean Perrin, puisqu’elle est classée dans les 10 meilleures prépas PTSI de France (en comptant la PT* et la PT).
 
J’ai donc fait une PTSI puis une PT* en deuxième année à Jean Perrin, et j’ai aujourd’hui intégré l’Ecole Centrale Paris.
 
L’avantage d’une formation PTSI/PT* par rapport aux autres filières est un équilibre entre les Mathématiques, la Physique et les Sciences de l’Ingénieur (environ 9h chacune), une approche beaucoup plus concrète des problèmes rencontrés, et l’acquisition d’une solide culture du monde de l’ingénieur.
 
 
De plus l’ambiance est très conviviale et il n’y a aucun esprit concours négatif dans la promo (même si toutes les prépas vous diront ça, vous ne trouverez pas mieux qu’en PTSI...)
 
Il y a quand même une augmentation de la difficulté entre la première et la deuxième année, et la période la plus difficile et fatiguante reste la période des concours et surtout des oraux, même si la Banque PT permet de ne passer qu’un seul concours avec plusieurs épreuves dans chaque matière, ce qui dure une semaine et demi pour les écrits et 2 semaines maximum pour les oraux contre un mois d’écrits et un mois d’oraux en moyenne dans les autres filières. Cela permet d’avoir moins de stress, moins fatigué et d’être plus performant dans les épreuves.
 
De plus la prépa PTSI est souvent vue comment la "prépa Arts et Métiers", ce qui est en partie vrai puisque dans l’enseignement l’accent est mis sur les épreuves types Arts et Métiers et que la majorité de la PT* est admise aux Arts et Métiers.

Mais le niveau de la PT* à Jean Perrin permet d’intégrer des écoles "au dessus" des Arts et Métiers. Même si le nombre de places dans les grands concours comme Polytechnique, Mines-Ponts et Centrale-Supélec est en proportion plus faible que dans les autres filières, il y a beaucoup moins de concurrence à haut niveau et donc autant voire plus de chances d’intégrer une très Grande Ecole. La preuve est que notre PT* a eu 12 admis dans les écoles du groupe Centrale (4 ont choisis d’intégrer), 3 à Supélec et 16 à l’ENS Cachan.
 
De même il est possible d’intégrer des écoles du groupe CCP, comme des écoles d’informatique ou de mécanique, dont certaines sont très bien cotées.
 
Pour ma part je ne regrette absolument pas d’avoir choisi la voie PTSI/PT*, puisque j’ai été admis dans toutes les concours, j’ai donc eu le choix de l’école, et le tout dans une très bonne ambiance et avec des profs sympathiques qui vous poussent.
 
J’espère que vous serez nombreux à suivre cette voie l’an prochain, vous ne le regretterez pas.
 
Admis à Polytechnique (X), Centrale Paris, Centrale Lyon, Centrale Lille, Centrale Nantes, Centrale Marseille, Supélec, Mines Paris, Ponts ParisTech, Telecom ParisTech, Arts et Métiers, ENS Cachan, CCP en 3/2.J’ai choisi d’intégrer Centrale Paris.

Tommy K. @ ENSIMAG

Bonjour à tous,
Après avoir passé deux ans en PTSI/PT* étoiles à Perrin (précédé déjà de 3 ans pour un BAC SSI ici-même), je ne peux pas dire qu’on peut s’en plaindre.
Les profs sont très agréables, à l’écoute des élèves, y compris en khôlles. Ils sont même rapidement joignables par mail, et un échange de mail est d’ailleurs prévu en début d’année généralement.
L’ambiance des élèves n’est pas du tout compétitive, contrairement aux rumeurs pouvant courir sur les classes préparatoires en général, du coup une bonne entente dans le groupe, ce qui rend le travail toujours plus agréable (car malgré tout, on ne peut éviter le travail pour arriver à nos fins).
Un choix de filière que pour ma part je considère comme un risque à prendre : j’ai moi-même intégré l’Ensimag, est avait choisi au préalable d’intégrer cette prépa dans le but de faire une école d’informatique, bien que la prépa ne soit pas orientée dans ce sens : et ce pour différentes raisons :
- L’ambiance citée plus haut
- Le fait que la filière PTSI permet a un plus gros pourcentage d’atteindre des grandes écoles (regardez les chiffres)
- Enfin le fait que les concours sont réunis en Banque PT, et que nous avons beaucoup moins d’épreuves que dans les autres prépa, donc moins de stress, et plus de concentration pendant l’épreuve, d’où une réussite forcément meilleur à mon sens.
Enfin j’en profite pour conclure que mêmes pour ceux qui veulent pas spécialement faire une école du type arts-et-métiers après, les connaissances acquises en science de l’ingénieur sont plus qu’intéressantes à connaitre, et également utile dans la vie d’ingénieur, même en informatique (pensez par exemple à la robotique, c’est bien de savoir de quoi on parle).
Je souhaite bon courage à tous les futurs PTSI !

Sébastien L. @ ENSMM

Bonjour à tous,
À la fin de ma terminale S SI au Lycée Jean Perrin, je me suis posé pas mal de questions sur mon avenir. Pour être franc au départ je ne pensais pas intégrer une classe préparatoire, à cause bien sûr des a priori bien connus comme : « Travailler jusqu’à 1h du matin tous les soirs tu devras », et le classique : « ta vie sociale va en prendre un coup ». Cependant j’ai relevé le défi, et j’ai pas trouvé ça horrible...
Certes il faut travailler, certes il ne faut pas compter sortir tout les soirs faire la fête, certes il y a beaucoup de devoir à la maison.
Mais sachez que les différences majeures entre vous et des DUT ou BTS sont, une meilleur gestion du stress, une technique de travail méthodique et une grande polyvalence, tout ça acquis en classe préparatoire.
Par rapport aux autres prépas, la PTSI a le meilleur « rapport qualité/prix », grâce à la banque PT qui regroupe les écoles, un taux de réussite de presque 100% en PT*, mais aussi grâce aux sciences de l’ingénieur qui vous donnent une culture technique importante et valorisante pour votre futur métier d’ingénieur.
En ce qui concerne l’ambiance de la PTSI à Jean Perrin, vous verrez qu’il n’y a pas « d’esprit concours » les profs sont là pour vous aider mais aussi ils vous encouragent à travailler « en équipe ».
Pour ma part j’étais en PT, les profs sont tout aussi qualifiés et pédagogiques qu’en PT*.
Cependant il existe un petit défaut ! (il y en à toujours) : Pendant votre séjour en prépa vous entendrez parler sans cesse de l’ENSAM, très bonne école, MAIS ce n’est pas la seule !
Les écoles CCP, souvent dépréciées, sont en faites des écoles qui valent le coup, souvent bien classées, très prisés par les autres prépas, ouvrant de multiples portes à la fois dans l’informatique, la mécanique, les maths appliquées, ou même des écoles plus généraliste comme l’ENSMM et reconnues par le monde industriel.
Il est donc important de bien réfléchir et de s’informer avant de faire ses vœux et ne pas subir l’effet mouton (c’est à dire faire comme tout le monde : ENSAM ou 5/2).
Votre avenir en dépend !

Arthur M. @ Arts et métiers

Concernant mon choix pour la PTSI, il était basé sur le fait que c’est la filière qui offre le meilleur taux (nb places concourt)/(nb d’élèves inscrit en PT).
Ensuite j’avais déjà pour projet d’intégrer les Arts & Métiers, et j’ai vu que c’était la section qui en offrait le plus de places.
De plus, je savais aussi qu’il y avait qu’une seul banque de concours à passer, contrairement aux autres filière.
Concernant mes deux années de prépa, elles se sont très bien passées, aussi bien au niveau de l’ambiance, que de la qualité de l’enseignement.
On m’avait toujours dit avant que j’y rentre que la prépa c’était l’enfer, que c’était les deux années les plus horribles, mais ce fut loin d’être le cas. Il est vrai que ce n’est pas toujours réjouissant, mais c’est pas si terrible que ça.
Le fait d’être en internat était un plus aussi bien au niveau du travail, que d’un point de vu social.
Concernant le concours, on peut dire que c’est vraiment là le moment difficile de la prépa, surtout pour les oraux.
Admis à : ENSAM, CCP, ENS Cachan

Alban Y. @ Arts et métiers

Bonjours à tous, l’un de mes ancien professeur de PTSI m’à demandé d’écrire avec la plus grande sincérité ce que je pensais de mes deux ans passer en PT à Jean Perrin et c’est avec plaisir que je répond à sa requête .
Je viens actuellement d’intégrer l’école des arts et métiers à Aix en Provence et nous somme le lycée à avoir intégrer le plus d’élève dans cette école .
Pour la petite histoire j’ai également fait mon lycée à Jean Perrin et en sortant de terminal je me suis demander quoi faire ?
Ingénieur ? Oui . Une prépa ? Non c’est pas pour moi je veux continuer à vivre !
Et puis finalement après de nombreux conseille j’ai tenté , après tout qu’ais je à perdre ? Hè ba croyez le ou pas mais j’ai continuer à vivre , à faire la fête , à m’envoyer 3 semaines de ski par ans , des weekends avec mes potes de prépa !
2 ans ça passe très vite et vous ne le regretterez pas, la preuve ce serai à refaire je le referai.
Bien sur il faut travailler mais on continue à vivre , du moins à Jean Perrin.
L’avantage de la PTSI est que cette classe prépa propose un cursus plus technique que le reste des prépa , plus concret, la SI (Sciences de l’Ingénieur) très présente dans le programme permet aux étudiants de mettre à profit leurs connaissances dans des cas concrets , de toucher aux systèmes mécaniques et d’avoir une première approche du métier d’ingénieur ( à travers les nombreux TP, TD…).
Pour conclure je souhaite bonne chance au futur étudiants, il y a de durs moments, mais d’autres beaucoup mieux, au final cela vaut vraiment le coup

Antonin C. @ ENSTA

Bonjour à tous,
je passais là par hasard et je me suis dit qu’il était temps d’apporter ma pierre à l’édifice.
Ah la prépa, ces deux (ou trois années) qui font tellement peur parce qu’il va falloir faire ce que nos générations aiment de moins en moins : travailler. Et bien c’est pas si terrible que ça, on en sort tous et avec le sourire bien sur parce que c’est sans doute la meilleurs façon d’avoir un métier passionnant dans la science que ce soit un métier de recherche, d’enseignement ou quelque chose de plus appliquer dans ingénierie. Mais trêve de considérations générales je vais parler de mon expérience personnelle.En sortie de terminal, je n’avais pas trop d’idée sur mon orientation futur. Je savais que la prépa était une voie d’excellence et qu’en plus d’une formation d’un excellent niveau elle m’ouvrirait beaucoup de portes. Mon dossier étant assez catastrophique et les appréciations de mes enseignants qui me prévoyaient une déroute totale en prépa ne m’ont pas permis d’intégrer des filières "plus prestigieuse" que la PT. (Et oui certains pensent encore à tord que faire MP ou PC est "plus prestigieux").
C’est donc sans vraiment connaitre et sans avoir jamais fait de SI que je me suis retrouvé en sup PTSI à Jean Perrin. Les débuts ont été laborieux, notes assez basses, difficultés à trouver un rythme de travail soutenu.
Mais dès le deuxième semestre la volonté, la hargne, le travail m’ont permis d’atteindre mes objectifs c’est à dire de rentrer en PT*. Le retard que j’avais en SI a été vite effacé et j’ai assez vite pris plaisir à travailler sur des systèmes réels. La SI est sans doute la meilleur façon d’appliquer les sciences au plus près de la réalité et dans des considérations liées à l’entreprise et au monde qui nous entoure. La construction et le dessin technique m’ont aussi permis de développer ma vision dans l’espace et surtout mon sens du possible (les questions des techniques de fabrication, de la montabilité sont des notions clés).C’est ainsi que j’ai commencé mon année de spé PT* sans complexe, motivé non seulement par la possibilité classique d’aller aux arts et métier mais aussi par les autres écoles du groupe Centrale ou du groupe Mines Pont qui semblent souvent inatteignable dans la filière PT. Et c’est ici toute la force de la filière PT, les places sont évidement chères et rares pour ces écoles mais le taux d’admissible en PT* à Jean Perrin est réellement élevé et il ne faut pas se décourager. C’est aussi en regardant les résultats de l’année 2010 que je me suis dit qu’il était clairement possible d’aller dans une de ces écoles de rêve.
Je pense qu’il ne faut absolument pas se sous estimer lors de l’inscription au concours, j’ai moi même hésité à m’inscrire à Mines Pont (j’ai coché la case le dernier jour) et j’aurais pu m’en mordre les doigts.
A la sortie des écrits j’étais admissible à Centrale Lyon, aux Arts, à Supelec, à Mines Pont, au CCP, bref à tout ce pour lequel j’avais postulé (j’avais pas mis l’X et Centrale Paris parce que ça me semblait clairement inaccessible). Ce fut une belle surprise et il est clair que je n’aurais jamais imaginé ça 2 ans auparavant. Je suis alors parti à l’oral avec la rage de vaincre et l’envie de ne pas m’arrêter là ! Au final et malgré les aléas de l’oral j’ai réussi l’Ensam, Supelec Metz, Telecom Paris, Centrale Lyon et surtout l’ENSTA ParisTech qui est l’école que j’ai intégrée.Je suis persuadé que je n’aurais jamais pu intégrer l’ENSTA en 3/2 dans n’importe quelle autre filière que la filière PT. Et c’est pour ça que je dément au maximum cette idée reçue qui est que la PT n’ouvre pas les portes à d’autres écoles que les arts et métiers. Même si il n’y avait qu’une unique place pour cette école cette année avec un travail régulier et surtout beaucoup de sacrifices je pense qu’il était tout à fait possible d’y accéder sans être un monstre. Je me retrouve ainsi dans une école peu connue du grand publique s’intégrant sur le concours Mines Pont. Mais très reconnue dans le monde de l’emploi : classée 5eme école en fonction des salaires d’embauche en sortie de l’école. C’est une école qui permet une formation à la carte car les promos sont très petites, le cursus est divers et varié, les cours sont totalement modulables à partir de la deuxième année et surtout c’est la grande école la plus généraliste. L’ENSTA profite aussi du réseau ParisTech qui lit la plupart des grandes écoles d’ingénieur parisienne (X, Mines, Pont, Telecom...). Elle permet grâce à un cursus un peu plus théorique de former des ingénieurs polyvalents qui seront aptes à résoudre des problèmes dans différents domaines. La possibilité de se spécialiser dans des domaines tel que la finance, l’informatique, le génie maritime, l’énergie permet de choisir sa voie non pas en fonction de ses réussites au concours (électronique si l’on a réussi Supelec, Info si l’on a réussi Telecom...) mais surtout en fonction de ses intérêts pour les voies proposés. Je me réjouis totalement de mon choix et je n’arrive toujours pas à croire que j’ai pu intégrer une si bonne école . Mon histoire ne m’y prédestinait pas et c’est totalement grâce à la PT que j’en suis là aujourd’hui !Pour finir je veux mettre un point d’orgue sur la qualité de l’enseignement à Jean Perrin. Je pense que c’est un lycée qui donne à l’entrée en PTSI sa chance à beaucoup d’élèves (pas forcément brillant et j’en suis l’exemple) et qui est muni d’une équipe enseignante réellement performante.
J’aimerais vraiment remercier tous les professeurs qui m’ont donné des possibilités infinies de progression. Je pense aussi que l’ambiance de travail est géniale, tout le monde s’entraide et il y a de vrais moments de franche rigolade entre les élèves. Je vous dirais pas que ces 2 ans ont été une partie de plaisir mais ils m’ont permis d’atteindre ce qui me semblait totalement impossible 2 ans avant et c’est un peu grâce à la PT et à l’équipe enseignante.